Harcèlement scolaire : l’Ami-Mètre de Piwooz, l’Outil des amitiés sécurisées !

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Coucou les parents engagés !

C’est votre ami Piwooz. Aujourd’hui, je trépigne d’impatience à l’idée de vous parler d’un sujet super important, mais parfois un peu triste, le harcèlement scolaire.

Oh là là, ça fait tout drôle dans mon petit cœur quand j’entends ces mots, moi, le mini coach des émotions et des relations ! Mais pas de panique, car ensemble, on va éclairer ce chemin et trouver des solutions.

J’ai notamment créé un outil de prévention qui va clarifier les amitiés : l’Ami-Mètre !

On en parle plus bas, mais, tout d’abord, un tour d’horizon pour définir de quoi nous parlons ici.

L’essentiel du harcèlement scolaire en 3 points clés :

1️⃣ Comprendre le harcèlement scolaire pour mieux le détecter 
Dans cet article, on explique la différence entre un simple conflit et le harcèlement scolaire, en insistant sur la répétition, l’intention de nuire et le déséquilibre de pouvoir. Il aide les parents à repérer les signes émotionnels et comportementaux chez leur enfant, comme le repli sur soi, les douleurs inexpliquées ou les changements d’humeur.

2️⃣ L’Ami-Mètre : un outil ludique et préventif
L’Ami-Mètre est une boussole relationnelle. Il est gratuit et adaptée aux enfants de 5 à 10 ans. C’est un outil de prévention. Il utilise un code couleur (vert, orange, rouge) pour aider les enfants à évaluer la qualité de leurs relations amicales et à identifier les comportements toxiques. Il facilite le dialogue avec les adultes et renforce la confiance en soi.

3️⃣ Agir ensemble : parents, école et outils de soutien
L’article encourage une approche collaborative : les parents doivent créer un espace de confiance, l’école doit être proactive et bienveillante, et des organismes comme France Victimes ou e-Enfance offrent des ressources pratiques. Le tout vise à construire un environnement scolaire plus sûr et à prévenir durablement le harcèlement scolaire.

Harcèlement scolaire : tour d’horizon

Le Harcèlement scolaire : Qu'est-ce que c'est, au juste ?

Tu sais, quand on parle de harcèlement scolaire, mon petit cœur de Piwooz devient un peu lourd. C’est un mot qui fait peur, et c’est normal ! Mais pour mieux l’affronter, il faut d’abord bien le comprendre, car les mots « harcèlement scolaire » fait naître en nous beaucoup de peurs : rejet, solitude, humiliation, violence physique et psychologique, échec scolaire, etc. Voyons tout cela ensemble.

Pour moi, Piwooz, le harcèlement scolaire (ou harcèlement tout court), c’est comme une petite graine de tristesse que quelqu’un plante dans le cœur d’un autre enfant, encore et encore, jusqu’à ce que cette graine devienne un gros arbre tout gris qui cache le soleil. Ce n’est pas juste une petite dispute de cour de récréation, non, non ! C’est quelque chose qui se répète, qui fait mal intentionnellement, et où la personne qui fait du mal est souvent en position de domination que celle qui subit.

Que ce soit des mots qui piquent, des gestes qui blessent, des regards qui intimident, ou même des choses qui se passent sur les écrans (le fameux cyberharcèlement, ouille !), le but est toujours le même : faire souffrir. Et nos enfants, ces petites fleurs fragiles, ne devraient jamais avoir à supporter ça.

La différence entre conflit et harcèlement scolaire: L'œil de Piwooz

Tu sais, mon cher parent, pour les voir tous les jours, que, dans le monde des émotions, il y a plein de nuances ! Une petite dispute entre copains pour un ballon, c’est un conflit. C’est normal, ça arrive ! Les enfants apprennent à gérer leurs désaccords, à dire ce qu’ils ressentent, et souvent, ça se termine par un gros câlin ou un nouveau jeu – bon OK, en passant par des pleurs et dénonciations auprès de vous. Mais, en gros, on se dispute, on se réconcilie, et hop, la vie continue !

Conflit : une situation dans laquelle des différences d’intérêts, d’attentes, de valeurs ou d’opinions surviennent entre des individus, au sein de groupes ou entre groupes.

Le harcèlement scolaire, ou non, lui, c’est différent. C’est quand ce n’est plus équilibré. Quand un enfant, ou un groupe d’enfants fait du mal à un autre de manière répétée, et que l’enfant qui subit a du mal à se défendre. C’est comme une danse où l’un piétine l’autre encore et encore, sans que l’autre puisse s’échapper. Il y a une intention de nuire (relative lorsque cela provient d’un enfant qui n’a pas le recul pour analyser son comportement), une régularité, et un déséquilibre de pouvoir ou d’autorité. Le petit cœur de l’enfant harcelé se sent seul, piégé, et les rires des autres peuvent devenir de vrais couteaux lorsque l’effet de groupe entre en compte.

Harcèlement : le fait de subir, de manière répétée, des violences verbales, morales ou physiques de la part d'une autre personne. il est scolaire quand il intervient entre deux ou plusieurs élèves à l'école.

C’est là que l’outil de prévention sur le harcèlement scolaire, l’Ami-Mètre, entre en jeu. Basé sur le Violentomètre, il vise à aider notre enfant à distinguer ce qui est une bonne amitié (des comportements respectueux), de ce qui ne l’est pas ! Le tout, en utilisant sa position et ses mots d’enfant.

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Les signes qui ne trompent pas : Quand l'enfant change de couleur

En tant que parent, on a un superpouvoir : celui de sentir quand quelque chose ne va pas chez nos petits loups. C’est comme si on avait une antenne magique ! Le harcèlement scolaire, ça ne se manifeste pas toujours par des bleus ou des cartables cassés. Souvent, ça commence par des petits changements subtils.

  • Est-ce que votre enfant, d’ordinaire si joyeux, est soudain plus silencieux, plus triste ?
  • Est-ce qu’il refuse d’aller à l’école le matin, se plaint de maux de ventre ou de tête juste avant de partir, alors qu’il allait bien la veille ?
  • Est-ce qu’il a moins d’appétit, ou au contraire, mange plus pour compenser ? Ses nuits sont-elles agitées, remplies de cauchemars ?
  • Son humeur change-t-elle à la vitesse de l’éclair, passant de l’irritabilité à la tristesse sans raison apparente ?
  • Peut-être qu’il perd ses affaires, ou que ses notes baissent soudainement à l’école.
  • Ou alors, il s’isole, ne veut plus voir ses amis, ou ne vous parle plus de sa journée.

 

Ces clignotants émotionnels sont des alertes. Ce n’est pas toujours du harcèlement scolaire, bien sûr, la vie des enfants est pleine de découvertes ! Mais si plusieurs de ces signes persistent, mon capteur émotionnel te dit : ouvre bien les yeux et les oreilles, et surtout, parle-en avec ton enfant.

Une précision ici entre harcèlement scolaire et phobie scolaire. Je t’ai rédigé tout un dossier sur la phobie scolaire, disponible ici. Ce sont des choses différentes. Bien que le harcèlement puisse être une cause génératrice de la phobie scolaire (ou refus scolaire anxieux), la réciproque n’est pas vraie. La phobie scolaire est plus large et vaste que le harcèlement scolaire.

Phobie scolaire : trouble affectant les enfants en âge d'aller à l'école qui, en raison d'une anxiété, d'une dépression ou de facteurs sociaux, refusent d'aller à l'école car cela engendre un stress.

Les Impacts du Harcèlement scolaire

Quand le harcèlement scolaire s’installe, c’est comme si un petit nuage gris venait se poser sur le cœur de nos enfants. Et ce nuage entraîne des conséquences sur plein de choses, même si on ne les voit pas toujours tout de suite.

Émotions en vrac : Un arc-en-ciel qui s'assombrit

Le premier impact visible du harcèlement scolaire intervient sur les émotions. Imaginez une palette de couleurs vives, pleine de joie, de curiosité, de confiance… et hop, les couleurs s’estompent, elles deviennent pâles, puis ternes. La tristesse, la peur, l’anxiété, la colère s’installent.

L’enfant peut se sentir honteux, coupable, penser que c’est de sa faute. Son estime de soi, cette petite bulle de lumière qui nous dit « Je suis capable, je suis bien ! », se dégonfle. À force de se sentir rabaissé, ridiculisé, ignoré, l’enfant peut perdre toute confiance en lui et en les autres. Et parfois, cela peut mener à des choses encore plus tristes, comme de la dépression.

C’est pourquoi je crois profondément à l’apprentissage émotionnel dès le plus jeune âge : pour donner à nos enfants les outils pour comprendre et gérer ces vagues d’émotions. Moi, Piwooz, ainsi que toute l’équipe qui me fait vivre en avons fait notre mission.

Cette mission passe également par la prévention, accessible aux enfants.

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L'apprentissage freiné : Quand la tête ne veut plus :

L’école, c’est le lieu où nos enfants apprennent, grandissent, découvrent le monde ! Mais quand on a peur, quand on a mal au cœur, quand on est constamment sur le qui-vive, il est impossible de se concentrer. C’est comme essayer de lire un livre sous la pluie !

Les résultats scolaires peuvent chuter, l’enfant peut perdre son intérêt pour l’école, et même pour des matières qu’il aimait avant. L’envie d’apprendre s’éteint un peu. La tête est pleine de soucis, pas de belles histoires ou de calculs amusants.

C’est un cercle vicieux : le mal-être émotionnel impacte l’apprentissage, ce qui peut ensuite renforcer le sentiment d’échec et la perte de confiance.

La vie sociale en danger : L'isolement, le grand péril du harcèlement scolaire !

Les amis, c’est la vie pour nos enfants ! Jouer ensemble, rire, partager des secrets… Mais le harcèlement scolaire, c’est comme un mur invisible qui se construit autour de l’enfant. Il peut commencer à s’isoler, à éviter les autres, même ceux qui ne lui veulent pas de mal.

La peur d’être rejeté, de revivre la situation douloureuse est trop forte. Parfois, le harcèlement scolaire coupe les ponts avec les anciennes amitiés, car les autres enfants, par peur d’être eux-mêmes harcelés, peuvent s’éloigner.

L’enfant harcelé se retrouve alors seul face à sa souffrance, sans personne pour partager son fardeau. C’est pour cela que l’Ami-Mètre est si important : il aide à identifier et construire des amitiés saines, ainsi qu’à protéger des mauvais comportements et donc de l’isolement.

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Parler du Harcèlement scolaire : une bonne idée ?

Mon petit cœur le sait : parler de choses difficiles, ce n’est jamais facile, surtout avec nos enfants ! Mais c’est une étape essentielle, le premier pas vers la lumière. Alors, oui, parler du harcèlement scolaire est une vraie bonne idée ! Parler des relations humaines dans toute sa diversité est une excellente idée. Il faut briser ce dogme de ne pas montrer ses sentiments envers les autres.

Créer un espace de confiance : Votre oreille, le plus beau des cadeaux

Le plus important, c’est que ton enfant sache qu’il peut te confier absolument tout, sans être jugé. Ce cercle de confiance et de sécurité, c’est toi et toi seul qui peut le créer avec lui. C’est ton rôle de parent. Personne d’autre ne le fera ou ne pourra l’avoir. C’est l’essence du lien parent-enfant.

Créer un cocon de sécurité où ses émotions sont les bienvenues, même les plus sombres. Pour cela, l’idéal est de choisir un moment calme, quand vous êtes tous les deux détendus. Ça peut être pendant un câlin le soir, en construisant une tour de Lego ou durant un trajet en voiture (suffisamment long pour ne pas être coupé).

Ensuite, pour l’engager à s’ouvrir, le mieux reste d’avoir son accord. Évitons de forcer la discussion, ce qui sera contre-productif. Pour cela, on peut lui proposer un « moment spécial discussion » sans pression. Le message est que toi, parent, est là pour l’écouter, quoi qu’il arrive, et que tu l’aimes quoi qu’il dise ou fasse. L’important n’est pas qu’il parle tout de suite, mais qu’il sache que la porte de la conversation est toujours ouverte.

Ta présence attentive est le plus beau des cadeaux. À partir de là, voici quelques possibilités :

  • Soit il te parlera de quelque chose d’intéressant, qui le tracasse sur le moment, et pas forcément d’harcèlement scolaire. C’est gagné, il est dans la zone de confort et la discussion s’établit. Bravo !
  • Soit il dérivera sur une discussion plus fun, soit par évitement et tu le ressentiras, car il y aura un laps de temps de réflexion pour trouver un sujet, soit plus vite et naturellement, car il ne ressent rien à dire – et tant mieux !
  • Soit il ne dira rien, se murera dans le silence et son expression du visage et regard en dira plus que lui à la pensée de ces évènements. C’est un indice. Inutile de forcer, le moment n’est pas le bon. Partie remise.

Les mots justes : Guider sans juger

Quand ton enfant se confie, respire profondément ! Ce n’est pas une blague. Tu vas ressentir des émotions et il te faut écouter plus que parler.

Donc on se tait. Si on parle, c’est pour valider ses émotions : « Je comprends que tu sois triste/en colère/effrayé. » Dites-lui que ce n’est pas de sa faute, jamais. Que le harceleur est responsable de ses actes. Et n’oublie pas de le remercier pour son partage.

Éviter à tout prix les « Mais pourquoi tu n’as rien dit ? » ou « Tu devrais être plus fort ! ». Ces phrases, même si elles partent d’une bonne intention, peuvent le faire se refermer.

Une fois qu’il ou elle a bien terminé.e de parler, on peut lui proposer des solutions concrètes : « Que penses-tu si on en parle à la maîtresse ? » ou « On va trouver une solution ensemble. » Ton rôle est de le rassurer. De lui faire comprendre qu’il n’est pas seul.

Et n’oubliez pas : parfois, les enfants ont du mal à mettre des mots sur ce qu’ils vivent. C’est là que des outils comme l’Ami-Mètre peuvent les aider à exprimer ce qu’ils ressentent, sans même avoir à prononcer le mot « harcèlement ».

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L'Ami-Mètre de Piwooz : La boussole des amitiés !

Et maintenant, tadam ! Mon moment préféré ! Laissez-moi vous présenter un outil que mon cœur de Piwooz a mis au point avec plein d’amour et de magie pour vos enfants : L’Ami-Mètre ! C’est comme une boussole qui aide les enfants de 5 à 10 ans à comprendre ce qu’est une vraie amitié et à se protéger des mauvaises surprises.

Son origine : Un cousin du Violentomètre, mais pour les copains !

Vous avez peut-être entendu parler du « Violentomètre » ? C’est un outil qui vise à lutter contre les violences intrafamiliales. À consommer et diffuser sans modération.

Je tiens à préciser ici que nous ne revendiquons aucun lien avec les créateurs de cet outil. C’est uniquement notre base d’inspiration pour créer un outil de prévention similaire pour les enfants, sur le sujet de l’amitié et du harcèlement scolaire. En résumé, mon Ami-Mètre, c’est comme son petit cousin, inspiré par sa sagesse, mais adapté au monde merveilleux des enfants et de leurs amitiés !

L’objectif est de donner aux enfants un repère visuel et facile à comprendre pour qu’ils puissent évaluer par eux-mêmes la qualité de leurs relations avec les copains et copines. C’est un pas immense pour développer leur sens de l’empathie, comprendre les comportements acceptables, et surtout, lutter contre le harcèlement et les violences qui peuvent s’immiscer dans la cour de récré.

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Comment ça marche ? Les couleurs de l'amitié

L’Ami-Mètre, c’est un peu comme un feu de circulation des émotions ! Il y a trois zones de couleurs, et chaque zone nous dit quelque chose sur la relation. C’est simple comme bonjour, et ça parle le langage des enfants ! 

La Zone Verte : C'est le paradis des amis, on encourage !

Quand on se situe dans la zone verte de l’Ami-Mètre, c’est que l’amitié est au beau fixe ! C’est le signe que l’ami·e est super chouette et qu’on se sent bien avec lui ou elle. C’est quand ton ami·e est content·e quand vous vous amusez, qu’il ou elle accepte tes autres amis sans jalousie, qu’il ou elle te fait confiance, et surtout, qu’il ou elle respecte tes décisions et tes goûts.

C’est le partage, la joie, le rire, et surtout, le respect mutuel. C’est le signal que tout va bien, que le cœur bat la chamade de bonheur.

✅ Comme le dit si bien l'Ami-Mètre : "TU ÉVOLUES AVEC UN OU UNE VÉRITABLE AMI.E. Continuez ainsi, la vie vous sourit à tous les deux ! Vous avez une belle amitié. N’hésite pas à le partager avec lui ou elle."

La Zone Verte : C'est le paradis des amis, on encourage !

Ah, la zone jaune/orange… C’est à ce moment-là que mon cerveau me fait sentir des petits chocs électriques en me disant que quelque chose ne va pas. Ce n’est pas encore le grand danger, mais ce sont des comportements qui doivent te faire réfléchir. C’est quand l’ami·e se moque de toi devant les autres, rabaisse tes idées ou tes envies (même les plus farfelus et géniales !), fait du chantage si tu refuses de faire ce qu’il ou elle veut, ou t’ignore pendant des jours quand il ou elle est en colère. Ce sont des petites brèches dans l’amitié, des choses qui font que la relation n’est plus tout à fait équilibrée. Il commence à se créer de l’emprise.

C’est le partage, la joie, le rire, et surtout, le respect mutuel. C’est le signal que tout va bien, que le cœur bat la chamade de bonheur.

⚠️ ici : "TU ÉVOLUES DANS UN CLIMAT NON AMICAL. Ne perds pas ton temps et reste loin de lui ou elle. Tu risques de te sentir blessé.e. Ce N’est PAS un ou une vrai·e ami·e." C'est le moment de dire "Stop !", de prendre du recul, et d'en parler à un adulte de confiance.

La Zone Rouge : Danger, alerte rouge, on s'inquiète et agit !

La zone rouge, c’est l’alerte maximale ! C’est quand la situation est vraiment dangereuse et qu’il faut se protéger. Ce sont des comportements qui font très mal, physiquement ou émotionnellement, et qui mettent l’enfant en danger.

Par exemple, si l’ami·e oblige à regarder des vidéos violentes ou d’adulte, menace de se faire du mal à cause de l’enfant, pousse, frappe, gifle, ou secoue. C’est aussi quand il ou elle explose de colère, traite de « fou/folle », isole de tes autres amis, contrôle ce que l’on dit ou fait, fouille dans les affaires, est jaloux en permanence, manipule, ment, ou force à toucher ses parties intimes.

Bref, tu as compris : nous sommes plus dans la prévention, nous sommes dans le danger et il y a nécessité d’agir ! Dans ce cas, il n’y a pas à hésiter, il faut agir tout de suite et chercher de l’aide.

🚫 L'Ami-Mètre crie : "TU ES EN DANGER ! TU DOIS TE PROTÉGER. Fuis le plus loin possible de cette personne. Cherche de l’aide au plus vite. Parle à un adulte de confiance. N’aie pas honte. C’est lui ou elle que la honte doit accabler."

Les bénéfices de l'Ami-Mètre : Une superpuissance pour votre enfant !

En donnant l’Ami-Mètre à ton enfant, tu leur offres une vraie superpuissance émotionnelle ! Il va permettre à toute ta petite famille de :

💙 Comprendre les relations : il les aide à voir ce qui est sain et ce qui ne l’est pas dans une amitié, bien avant que les choses ne deviennent trop compliquées.

💙 Développer l’empathie : en observant les comportements, ils apprennent aussi à mieux se comporter eux-mêmes et à être de bons amis.

💙 Parler plus facilement : quand les mots manquent, l’Ami-Mètre est un support pour entamer la discussion avec un adulte. « Maman, mon ami, il est dans la zone jaune… » C’est un début !

💙 Se protéger : il leur donne les clés pour identifier les situations à risque et savoir quand et comment dire non, quand partir, et quand demander de l’aide.

💙 Renforcer la confiance en soi : En ayant les outils pour gérer leurs relations, les enfants se sentent plus capables et plus forts. Ils ont un support qu’ils peuvent utiliser pour se justifier, tel un super bouclier !

Le petit bonus : on l’a fait en version « activité découpage » pour ajouter un attrait à s’impliquer.

Télécharge l'Ami-Mètre : C'est gratuit !

Le meilleur dans tout ça ? L’Ami-Mètre est un outil de prévention d’utilité publique, créé par Piwooz avec la volonté qu’il soit partagé le plus largement possible ! Tu peux le télécharger GRATUITEMENT

Imprimez-le, plastifiez-le si vous voulez qu’il dure longtemps, et parlez-en avec vos enfants. C’est un petit pas pour vous, un grand bond pour la prévention du harcèlement scolaire et la construction d’amitiés saines et joyeuses !

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Quoi faire contre le harcèlement scolaire ?

Quand un petit nuage gris s’approche de nos enfants, on se sent souvent seul. En tant que mini compagnon de toute ta famille, je suis là pour vous dire : Tu n’es jamais seul ! Agir contre le harcèlement scolaire, c’est un travail d’équipe. Il existe des relais pour t’aider.

Ton rôle de parent : la force tranquille

Ton rôle, cher parent, est primordial. Tu es le premier rempart et oreilles. Si on doit récapituler une démarche, on se situe dans les bases de la Communication Non Violente (CNV), donc voici les points essentiels :

  • On écoute activement : comme on l’a vu, à toi de créer un espace où votre enfant peut parler librement. Posez des questions ouvertes, sans jugement.
  • On valide les ressentis : « Je vois que tu as mal », « Je comprends ta colère ». Etc. On reconnaît et nomme les émotions.
  • On soutient sans condition : on rassure, on montre et dit que tu es là, quoi qu’il arrive, et que vous trouverez une solution ensemble.
  • On observe : on est attentif aux changements de comportement, d’humeur, d’appétit.
  • On agit : une fois que ton enfant t’a parlé, il est crucial d’agir. Tu dois contacter l’école, discutez avec les enseignants, le directeur. Il est primordial de préparer ce rendez-vous, en notant les faits précis. Garde en tête que l’objectif est le bien-être de ton enfant.

Le rôle de l'école : Un partenaire essentiel

L’école, c’est ton alliée, pas ton ennemie ! 🏫

L’école joue un rôle central dans la prévention et la gestion du harcèlement scolaire. Il est essentiel que les équipes éducatives prennent au sérieux chaque situation signalée, en menant des enquêtes discrètes pour comprendre ce qui se passe réellement. La priorité doit toujours être la protection de l’enfant victime, en assurant sa sécurité physique et émotionnelle.

Mais l’intervention ne s’arrête pas là : il est tout aussi important de travailler avec l’enfant harceleur, non pas uniquement pour le sanctionner, mais pour comprendre les raisons de son comportement et l’aider à évoluer.

Enfin, l’école a une mission fondamentale de sensibilisation : elle doit éduquer les élèves au respect, à l’empathie et à la prévention du harcèlement, afin de créer un environnement scolaire bienveillant et inclusif.

En ayant conscience que l’équipe enseignante ne peut pas tout gérer, il faut garder en tête qu’il y aura une priorisation des cas. N’hésite pas à insister sur la gravité de la situation et être proactif pour faire avancer les choses. Ton dynamisme et compréhension des enjeux du corps enseignant feront toute la différence.

Sensibilisation et Prévention : ton bouclier de Piwooz contre le harcèlement scolaire

La meilleure des stratégies, c’est la prévention ! Voici quelques pistes pour développer les compétences psychosociales de ton enfant.

  • À la maison : mettre les émotions, la différence, le respect au cœur de ses activités. Les jouets c’est nécessaire, les jouets ludo-éducatifs, c’est encore mieux. Utilise l’Ami-Mètre pour parler des relations.
  • À l’école : Propose à l’école à mettre en place des programmes de sensibilisation, des discussions de groupe, des outils comme l’Ami-Mètre ! Ils peuvent nous contacter pour avoir les fichiers d’impression. Plus les enfants sont conscients et outillés, moins le harcèlement scolaire a de place pour grandir.
  • Numéros d’aide : Apprendre l’existence de numéros verts, dédiés au harcèlement scolaire, qui peuvent offrir une écoute et des conseils précieux. On en parle juste après.

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Les numéros d’urgence : un premier acte

Voici les numéros d’urgence gratuits en rapport avec les violences et harcèlements scolaires des enfants :

🆘 📞 Le 30 18 est le numéro national contre toutes les formes de harcèlement, y compris cyberharcèlement, concernant les jeunes, enfants et adolescents.

🆘 📞  Le 119 pour les enfants et ados en danger : Le 119 est ouvert en permanence pour les enfants, adolescents et jeunes majeurs (moins de 21 ans) victimes de violences psychologiques, physiques, sexuelles ou en situation de danger.

En bonus, pour apprendre les autres numéros d’urgence (15, 17, 18, etc.), Piwooz a créé un chanson dynamique et fun dédiée, ainsi qu’un pack d’activité.

Les organismes d’aide pour les victimes d'harcèlement

➡️ L’Association e-Enfance, reconnue d’utilité publique, protège les mineurs sur Internet. Elle sensibilise enfants, parents et professionnels aux risques numériques (harcèlement scolaire – ou non, cyberharcèlement, etc.) et propose des outils concrets comme le 3018, numéro gratuit et confidentiel pour signaler les violences en ligne. Elle intervient aussi dans les écoles et collabore avec les acteurs du numérique pour renforcer la sécurité des jeunes.

➡️ France Victimes est la fédération nationale des associations d’aide aux victimes, anciennement connue sous le nom d’INAVEM. Créée en 1986, elle regroupe plus de 130 associations en France qui accompagnent gratuitement les personnes victimes d’infractions (atteintes aux biens ou aux personnes). Elle propose une écoute confidentielle, un soutien psychologique, une information sur les droits, et un accompagnement social. France Victimes gère également le numéro 116 006, accessible 7j/7, pour offrir une aide immédiate aux victimes.

➡️ La FCPE (Fédération des Conseils de Parents d’Élèves) est la première fédération de parents d’élèves de l’enseignement public en France. Reconnue d’utilité publique, elle regroupe un vaste réseau de parents engagés dans les écoles, collèges et lycées, en métropole comme à l’étranger. Créée en 1947, la FCPE agit comme un contre-pouvoir en participant activement à la vie scolaire, en représentant les parents auprès des institutions, et en impulsant des campagnes nationales. Elle fonctionne à travers des conseils locaux, départementaux et une fédération nationale, permettant aux parents de s’informer, d’échanger et de faire entendre leur voix dans le système éducatif.

Au revoir harcèlement scolaire, bonjour amitiés joyeuses et sécurisées

Voilà, mes chers parents ! Mon cœur est rempli d’espoir.

Le harcèlement scolaire est une épreuve douloureuse, mais ce n’est pas une fatalité. En comprenant mieux ce phénomène, en étant attentifs aux signes, en ouvrant le dialogue avec nos enfants, et surtout, en les dotant d’outils simples et puissants, comme l’Ami-Mètre, nous leur donnons les moyens de naviguer avec plus de sérénité dans le grand océan des relations.

N’oublie jamais que l’amitié, la vraie, est une source infinie de joie, de soutien et d’apprentissage. En cultivant l’empathie, le respect et la communication, nous construisons ensemble un monde où chaque enfant peut voler librement, sans crainte, vers des amitiés vibrantes et sécurisées.

Alors, télécharge vite l’Ami-Mètre, parlez-en autour de vous, et faisons de chaque cour de récré un terrain de jeu où le bien-être et le respect sont les seules règles ! Ensemble, nous sommes plus forts, et les cœurs de nos enfants peuvent battre au rythme joyeux des vraies amitiés.

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Les questions de parents sur le harcèlement scolaire

Oh, ça, c’est une question qui taraude beaucoup de cœurs de parents, je le sais ! Quand un enfant ne veut pas aller à l’école et se plaint de maux de ventre ou de tête, il est très rare qu’il simule. Pour mon cœur de Piwooz, ces maux sont souvent de vrais signaux que le corps envoie pour exprimer une souffrance émotionnelle. L’anxiété liée à l’école, et notamment au harcèlement, peut se manifester physiquement. Prenez toujours ces plaintes au sérieux. Ce n’est pas « faire du cinéma », c’est souvent un cri silencieux de l’âme qui souffre.

Forcer un enfant harcelé à retourner dans un environnement où il se sent en danger, c’est comme lui demander de nager dans un océan de requins sans bouée. Mon cœur de Piwooz vous dit : non, l’objectif n’est pas de forcer, mais de le soutenir et de trouver des solutions. Il est essentiel de s’attaquer à la cause du mal-être (le harcèlement) plutôt que de simplement le renvoyer au problème. Une absence temporaire peut être nécessaire pour assurer sa sécurité et sa santé mentale pendant que les adultes (vous et l’école) travaillent à résoudre la situation.

Malheureusement, le harcèlement scolaire n’a pas de durée fixe, et c’est ce qui le rend si insidieux. Il peut durer des semaines, des mois, voire des années si rien n’est fait. C’est précisément pour cela que la détection précoce et l’intervention rapide sont cruciales. Plus on attend, plus les impacts sur l’enfant sont profonds et difficiles à guérir. C’est comme une petite blessure : si on la soigne tout de suite, elle cicatrise vite. Si on la laisse s’infecter, ça devient plus compliqué.

Le CNED (Centre National d’Enseignement à Distance) peut être une solution *temporaire* et de *dernier recours* pour un enfant gravement harcelé et qui ne peut absolument plus fréquenter l’école. Cependant, mon cœur de Piwooz tient à vous dire que ce n’est pas la solution idéale sur le long terme. L’école est aussi un lieu de socialisation, d’apprentissage de la vie en groupe, et de construction de l’identité. Le CNED peut isoler davantage l’enfant. Il est toujours préférable de chercher à résoudre le problème à la source, au sein de l’établissement, avec l’aide des équipes éducatives et de professionnels, pour que l’enfant puisse réintégrer un environnement scolaire normal.

C’est une excellente question, chers parents ! La communication est clé, et elle doit être adaptée à l’âge des frères et sœurs.

Pour les 3-6 ans : Utilisez des mots simples et des métaphores. « Ton frère/ta sœur a un peu de chagrin en ce moment à l’école, des copains lui font de la peine avec leurs mots. Nous allons l’aider à retrouver son sourire. Toi, tu peux lui faire de gros câlins et être gentil(le). »

Pour les 7-11 ans : Vous pouvez être plus explicites. « Ton frère/ta sœur subit des moqueries/des méchancetés répétées à l’école. C’est du harcèlement, et c’est très triste. C’est important de le soutenir et de ne jamais reproduire ce genre de comportements. S’ils voient quelqu’un en souffrir, ils doivent en parler à un adulte. »

Pour les adolescents : Parlez-en ouvertement, encouragez-les à être des alliés pour leur frère/sœur, et expliquez l’importance de ne pas rester passif face à de telles situations. Parlez des conséquences et de l’importance de la bienveillance.

Dans tous les cas, rassurez-les, assurez-leur que vous êtes là pour toute la famille, et expliquez qu’il n’est jamais acceptable de faire du mal aux autres ni de laisser faire. L’objectif est de cultiver l’empathie et la solidarité au sein de la fratrie.

Oui, même si cela peut surprendre. Dès le plus jeune âge, des comportements d’exclusion, de moquerie ou de domination peuvent apparaître. Ce n’est pas toujours du harcèlement au sens strict, mais ce sont des signaux à surveiller. L’objectif est d’éduquer très tôt à l’empathie et au respect des autres.

Être témoin, c’est déjà être acteur. Encouragez votre enfant à ne pas rester silencieux. Il peut soutenir la victime, refuser de participer aux moqueries, et surtout, en parler à un adulte. Valorisez son courage et sa bienveillance : c’est une vraie force.

Oui, malheureusement.  Même si c’est rare, des comportements inappropriés ou humiliants peuvent venir d’un adulte qui traverse une période difficile de sa vie et focalise sa frustration sur un ou une élève.

Dans ce cas, il est essentiel d’en parler à la direction de l’établissement ou à une structure extérieure comme France Victimes ou le 119. 

C’est difficile à entendre, mais essentiel à traiter. Il ne s’agit pas de punir sans comprendre. Discutez avec votre enfant, cherchez à comprendre les raisons de son comportement, et impliquez l’école ou un professionnel si besoin. L’objectif est de l’aider à évoluer, pas de le stigmatiser.

Oui, notamment via les réseaux sociaux ou dans des activités extrascolaires. Le cyberharcèlement est une forme très répandue aujourd’hui. Il est important de surveiller les usages numériques et de maintenir un dialogue ouvert avec votre enfant sur ce qu’il vit en ligne.

Pour aller plus loin sur le harcèlement scolaire :

Voilà mes chers parents et petits trésors ! J’espère que ce guide vous aidera à traverser cette tempête. Souvenez-vous : vous n’êtes pas seuls, des solutions existent, et surtout, votre enfant a en lui toutes les ressources pour s’en sortir !

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