
Coucou les super-parents !
C’est Piwooz. Aujourd’hui, on réalise une interview d’une maman combative et déterminée. Elle nous raconte son parcours avec son fils diagnostiqué avec un TDAH (trouble du déficit de l’attention avec ou sans hyperactivité), qui touche d’ailleurs de nombreux enfants, souvent sans être immédiatement reconnu.
Nous allons voir que derrière ce diagnostic se cache un quotidien complexe, fait de rendez-vous médicaux, de démarches administratives, et surtout d’un immense besoin de compréhension et de soutien.
Pour les parents, c’est un parcours semé d’embûches, où chaque étape demande de la patience, de la persévérance… et beaucoup d’amour, alors que l’on est perdu dans les méandres médico-administratifs. Le message : il faut persévérer pour avoir la reconnaissance du trouble.
Dans cet article, nous suivons le témoignage d’Héléna, maman de Léonard, un petit garçon diagnostiqué TDAH et dyspraxique. À travers une interview menée par Piwooz, le mini coach des émotions, elle partage son combat pour faire reconnaître les troubles de son fils, obtenir les aides nécessaires, et adapter leur vie familiale à ses besoins spécifiques, avec 3 enfants au total.
Ce récit est une source d’inspiration pour tous les parents confrontés à ces troubles, mais aussi une invitation à mieux comprendre ce que vivent les enfants atteints de TDAH. Car derrière les difficultés scolaires ou comportementales, il y a des enfants sensibles, intelligents, et pleins de potentiel… à condition qu’on leur donne les bons outils.
Pour préserver l’anonymat des personnes, les prénoms ont été modifiés
Note interview sur le TDAH en 3 points clés :
Un parcours de reconnaissance difficile mais essentiel :
Héléna a dû mener un véritable combat administratif et émotionnel pour faire reconnaître le TDAH et la dyspraxie de son fils Léonard, et obtenir les aides nécessaires via la MDPH. Elle nous partage ses conseils et attentes des partenaires pour y parvenir.
Des troubles complexes aux impacts multiples.
Le TDAH et la dyspraxie affectent la concentration, la vie scolaire et familiale. Comprendre ces troubles est crucial pour mieux accompagner les enfants. À travers le parcours d’Héléna, nous avons un aperçu des difficultés émotionnelles à traverser, avec courage et résilience.
Un appel à des outils adaptés et universels
Héléna souligne le besoin de contenus éducatifs et émotionnels accessibles à tous les enfants, pas seulement ceux avec des troubles, pour favoriser leur développement personnel. Elle nous partage son sentiment de solitude face aux troubles, avec un manque de supports ou, du moins, une difficulté à les trouver.
Interview : Le combat d’Héléna, pour faire reconnaître LE TDAH et LA dyspraxie de SON FILS LEONARD
LeS PREMIER SIGNES du TDAH
Piwooz : Coucou Héléna ! Moi c’est Piwooz, le mini coach des émotions ! Je suis super curieux de découvrir ton histoire avec Léonard. Tu veux bien me raconter comment tout a commencé ?
Héléna : Bonjour Piwooz ! Avec plaisir. Tout a commencé quand Léonard était tout petit. Dès la maternelle, on me disait qu’il était “particulier”, “très gentil”, mais sans vraiment mettre de mots sur ses difficultés. Je pensais que c’était juste sa personnalité… jusqu’au CP.
Piwooz : Oh, le CP, c’est le moment où les enfants commencent à écrire, lire, se concentrer… C’est là que les choses se sont compliquées ?
Héléna : Exactement. Son maître m’a rapidement dit : “Je me demande s’il n’est pas dyslexique.” Et là, c’est le début d’un long parcours. La première vraie identification commence vraiment ici, avec le corps enseignant attentif et possédant une base de comparaison. Il est important de les écouter et de l’accepter. On se retrouve face à son propre déni. On ne veut pas y croire, on ne veut pas croire que notre enfant est « différent » et va devoir vivre avec cela. Notre monde s’écroule.
Il faut relever la tête après ce premier coup. Ensuite, c’est là ou commence une longue phase d’attente aveugle. Prendre et enchainer les rendez-vous, attendre des mois, chercher des réponses sur Internet… C’est un vrai labyrinthe pour les parents et la solitude vient très vite vous submerger.
🌟 CONSEIL : La première véritable identification commence avec le corps enseignant. Il est important de les écouter et de l’accepter. Attention, car on se retrouve face à son propre déni. On ne veut pas y croire et, pourtant, c’est la réalité.
🧠 Le diagnostic du TDAH : un parcours du combattant
Piwooz : Et tu as trouvé des réponses ?
Héléna : Oui, mais pas tout de suite. J’ai consulté plusieurs spécialistes : psychomotricienne, orthophoniste, pédopsychiatre, ergothérapeute… Tous ont confirmé que Léonard souffrait de dyspraxie et de TDAH, c’est-à-dire un trouble du déficit de l’attention avec ou sans hyperactivité – sans hyperactivité, en l’occurrence pour Léonard.
Mais pour que ce soit reconnu officiellement, il fallait passer par la MDPH (Maison Départementale des Personnes Handicapées).
Ce qui est compliqué durant cette période, c’est le manque d’information et retour des personnels médicaux. Ce n’est pas un reproche. Juste que l’on a l’impression d’errer entre les rendez-vous, de les réaliser machinalement, et d’attendre sans information. Les explications de ce qui est fait, pourquoi, comment, notamment durant les séances, sont minces. Donc on à l’impression de faire le taxi, planifier, déposer, récupérer, enchaîner. On ne se sent pas actrice du soin envers son enfant. C’est extrêmement frustrant et démotivant. Tenez bon, chers parents !
Piwooz : Pour la reconnaissance par la MDPH, est-ce facile ?
Héléna : Pas du tout ! C’est un vrai parcours du combattant et pourtant hyper important. Pas de reconnaissance égale pas de soins. La première demande est souvent refusée. Il faut insister, prouver, argumenter. J’ai dû pleurer, me battre, rassembler tous les bilans, expliquer en détail les répercussions du TDAH et de la dyspraxie sur la vie quotidienne de Léonard. Ce n’est qu’après plusieurs mois de démarches que la MDPH a reconnu son handicap.
Et au bout du compte, une fois la reconnaissance établie, mon interlocutrice m’a partagé que c’est ce que l’on attendait des parents. Ce n’est pas un jugement, mais bien un constat.
🌟 AVIS DE HELENA : Face à la recrudescence des problème comportementaux chez les enfants, les capacités des services médico-administratifs semblent en peine. Le parent doit mener une intense campagne et ne pas lâcher pour atteindre la reconnaissance officielle du trouble vécu par l’enfant.
Piwooz : Waouh, tu n’as rien lâché ! Bravo, Léonard n’est pas en mesure de te dire, alors Piwooz le fait pour lui : Merci. Merci de tout donner pour lui. Il t’aime profondément et ton combat fera qu’il sortira heureux de cette aventure.
Héléna : Merci, mais pour moi, je ne le vois pas ainsi, parce que je vois mon fils souffrir. Il fournit des efforts énormes, mais il est toujours plus fatigué que les autres. Il est hyper concentré en écrivant, inverse les boutons de son gilet, oublie ses affaires… Et parfois, il craque. Il m’a dit un jour : “Maman, j’en peux plus, je vois trop de monde. Je suis fatigué, je ne veux plus y aller !” – en me parlant des visites médicales et d’accompagnement. Là, j’ai compris qu’il fallait lever le pied.
C’est un autre enjeu : le ressenti de votre enfant. Pris dans le combat, voulant faire le maximum, on en oublie l’essentiel, son équilibre. Mon conseil serait de ne pas sous-estimer l’impact du parcours sur lui ou elle. Il faut temporiser entre apporter le meilleur parcours d’accompagnement possible et l’équilibre familial.
🌟 CONSEIL DE HELENA : L’équilibre de votre enfant doit faire partie des indicateurs pour savoir si le parcours d’accompagnement n’est pas trop soutenu. Il faut trouver une balance entre accompagnement et bien-être, personnel et familial.
🧩 Comprendre le TDAH et la dyspraxie
Piwooz : Tu peux m’expliquer ce que c’est exactement le TDAH et la dyspraxie ?
Héléna : Le TDAH est un trouble du déficit de l’attention. Léonard a du mal à se concentrer, il est facilement distrait, oublie vite, et ne peut pas rester assis longtemps. La dyspraxie, elle, est un trouble moteur. Il a du mal à coordonner ses gestes. Boutonner un gilet, faire ses lacets, écrire… tout ça lui demande un effort énorme. Et comme il se concentre tellement sur le geste, il n’a plus d’énergie pour réfléchir à l’orthographe ou à la grammaire. C’est pour ça qu’il est aussi dysorthographique.
ℹ️ TDAH : trouble du neurodéveloppement qui démarre à l'enfance et se manifeste par des symptômes d'inattention et/ou d'hyperactivité et d'impulsivité. - Inserm
ℹ️ Dyspraxie : correspond à une difficulté à réaliser certains gestes et actions volontaires. - Assurance Maladie

Piwooz : C’est comme si son cerveau devait faire du jonglage en permanence. La bande passante ne peut pas tout absorber. Et l’école, elle s’adapte ?
Héléna : Pas toujours. Il y a des maîtresses formidables, mais elles ont beaucoup d’enfants à gérer, peu de temps, peu de formation. Et parfois, des remarques blessantes. Une maîtresse lui a dit : “Je vois que tu fais des efforts, mais tu n’es pas au niveau.” Ça m’a brisé le cœur. Son estime est déjà attaquée par son propre discours interne, car il est lucide sur ces difficultés. Si les adultes référents en ajoutent, c’est la double peine. Parfois, ça manque de bienveillance (sans jugement ici encore une fois).
Je ne suis pas une évangélisatrice de l’éducation positive et bienveillante à l’extrême mais, quand on se retrouve dans ma situation, on comprend vite que la manière dont on communique est primordiale. L’empathie est clé. Si vous ne savez pas quoi dire, alors préférez ne rien dire que prononcer des banalités ou expressions.
🌟 CONSEIL DE HELENA : La communication, les encouragements et le soutien sont essentiels et doivent être continus pour un enfant dont la neuro-atypie constante attaque son estime et sa confiance en soi.
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Les Impacts du TDAH
Quand le harcèlement scolaire s’installe, c’est comme si un petit nuage gris venait se poser sur le cœur de nos enfants. Et ce nuage entraîne des conséquences sur plein de choses, même si on ne les voit pas toujours tout de suite.
🏡 À la maison : adaptation, créativité et résilience
Piwooz : Et à la maison, comment t’organises-tu ?
Héléna : J’ai trois enfants, donc c’est du sport ! Mais j’ai mis en place des routines, des contenus adaptés. Je leur passe des vidéos éducatives sur des sujets variés : allant des trous noirs, à l’histoire ou encore la dessin… Souvent, je me cale sur le programme scolaire et j’enrichis avec des contenus de qualité, comme ceux de Lumni, d’Arte ou encore de Piwooz… 😉
Piwooz : Et pour les émotions, tu fais comment ?
Héléna : C’est là qu’il manque quelque chose. Quand ils étaient petits, Tchoupi marchait bien. Mais en grandissant, ils veulent autre chose. J’aimerais un contenu ludique, bien fichu, qui parle de développement personnel aux enfants, avec des clés pour les parents. Un peu comme “C’est pas sorcier” – big-up aux enfants des années 80/90’, mais pour les émotions, les compétences psychosociales, la psychologie, etc.
💡 Un rêve : un compagnon de vie pour les enfants TDAH
Piwooz : Tu m’as parlé d’un rêve… un petit objet magique ?
Héléna : Oui ! Un réveil qui ferait aussi boîte à histoires, avec une pensée du jour, de la lumière douce pour le réveil, des programmes adaptés aux problématiques de l’enfant… Un petit compagnon de vie, qui l’accompagne au quotidien.
Piwooz : Comme les boites à histoires, mais focalisées sur les émotions ! Tu choisis ton programme, tu télécharges les histoires, et hop, c’est parti !
Héléna : Exactement. Et ça pourrait être un outil pour les parents aussi. Un moment précieux, juste avant de dormir, où l’enfant est disponible, calme, prêt à écouter. C’est là que les histoires marquent les esprits.
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📚 Le rôle des professionnels et des relais
Piwooz : Et les professionnels, t’ont-ils aidés ?
Héléna : Oui, mais c’est surtout le bouche-à-oreille qui fonctionne. Les associations de parents d’élèves sont des relais puissants. Ils sont investis, connectés, et peuvent recommander des sites, des thérapeutes, des contenus. C’est par eux que j’ai trouvé l’hypnothérapeute qui a aidé Léonard.
Piwooz : Et tu crois que les maîtresses pourraient être des prescriptrices de contenus comme Piwooz ?
Héléna : Absolument. Les enfants les adorent et écoutent. L’instit’ est une personne de confiance et possède un vrai impact. Si ça vient d’elle ou lui, ça passe beaucoup mieux. Et ils ou elles sont en demande de contenus non scolaires, créatifs, émotionnels ; avec des séances préfaites si j’ai bien compris. Il y a un vrai manque, surtout que les émotions et compétences psychosociales sont entrées au programme scolaire via l’EMC et l’EVAR en 2025.
Piwooz : Tu vises juste, on sent ton implication ! Ce que tu dis est exact. On a d’ailleurs réalisé un article sur le nouveau programme scolaire 2025, l’Enseignement Moral et Civique (EMC), intégrant l’Education à la Vie Affective et Relationnelle (EVAR).
🧠 Des outils pour les enfants neuro-atypiques : TDAH et autres.
Des difficultés à identifier les bons outils pour le TDAH pour les longs mois d'attente.
Piwooz : As-tu facilement trouvé des contenus adaptés aux problématiques de Léonard et de ta famille ?
Héléna : Non, justement. C’est un autre défi, la difficulté à identifier les bonnes sources d’activités, d’outils et autres contenus pour combler les vides entre les rendez-vous, durant les longs mois d’attente interminable.
De plus, la confiance en soi, l’estime de soi, la gestion des émotions… ce sont des sujets universels. Tous les enfants peuvent en bénéficier. Et si c’est bien fait, ça peut les aider à mieux comprendre le monde, les autres, eux-mêmes.
Piwooz : Comme l’ennéagramme pour les adultes, mais adapté aux enfants ?
Héléna : Oui ! Des outils de développement personnel, adaptés à leur âge. Il y a une vraie place à prendre. Et si Piwooz peut être ce personnage qui les accompagne, qui évolue avec eux, ce serait génial, car Piwooz génère l’implication et l’engagement des enfants de par son univers et personnage attachant.
🌟 CONSEIL DE HELENA : En tant que parent, malgré les liens et ressources fournis par les personnels soignants, on a du mal à identifier et trouver des contenus ludo-éducatifs adaptés.
🎭 Et demain, qu'imagines-tu pour le TDAH ?
Piwooz : Et si on allait encore plus loin ? Des spectacles, des ateliers, des contenus intéractifs ?
Héléna : C’est une super idée. Les écoles cherchent des spectacles éducatifs, les parents veulent du contenu intelligent. Et si Piwooz devient une licence, un label de confiance, alors les créateurs pourront s’en emparer pour diffuser des messages positifs.
Piwooz : Et toi, tu crois en cette vision ?
Héléna : Oui. Parce que je suis une maman qui a cherché, galéré, pleuré, mais qui a trouvé des solutions. Et si mon parcours peut aider d’autres parents à faire reconnaître le TDAH de leur enfant, alors ça vaut le coup.
💬 Le mot de la fin sur le parcours d'un parent face au TDAH et la dyspraxie
Piwooz : Merci Héléna pour ton témoignage. Tu es une maman courageuse, inspirante, et tu m’as donné plein d’idées ! Ensemble, on va continuer à créer des outils pour aider les enfants à grandir en confiance, en émotions, et en joie.
Héléna : Merci Piwooz. Continue à faire rêver les enfants… et à soutenir les parents dans leur combat pour faire reconnaître le TDAH et le déficit de l’attention. Ta mission a une vraie valeur sociale et de support pour nous, parent.
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Pour aller plus loin sur le TDAH
Les organismes DE SOUTIEN POUR AU TDAH
Pour trouver de l’aide additionnelle, voici quelques associations et plateformes de soutien
➡️ HyperSupers TDAH France
Association nationale reconnue d’intérêt général, elle propose des formations, des permanences d’écoute, des ressources pédagogiques et un accompagnement pour les familles. 🔗 www.tdah-france.fr
➡️ Société Française du TDAH (SF-TDAH)
Répertoire complet de plus de 12 associations régionales et nationales, avec des ressources pour les familles, les enseignants et les professionnels de santé. 🔗 sftdah.fr/ressources/associations
➡️ TDAH Focus
Site spécialisé dans les démarches MDPH, les aménagements scolaires, les aides financières et les outils pédagogiques. Très utile pour monter un dossier solide.
🔗 tdahfocus.com
➡️ Dossier-MDPH.fr
Guide pratique pour remplir un dossier MDPH, obtenir un PPS, une AESH, ou une AEEH. Explications claires et exemples concrets.🔗 dossier-mdph.fr/tdah
➡️ Guide TDAH – Fabienne Clavier Ressources pratiques pour les parents : démarches scolaires, aides financières, outils éducatifs, livres recommandés, et liens vers les CMP et AESH. 🔗 fabienneclavier.com/guide-tdah
Les questions de parents sur le TDAH
Comment le TDAH impacte-t-il la scolarité d’un enfant ?
Le TDAH peut entraîner des difficultés de concentration, d’organisation, d’impulsivité et d’hyperactivité, ce qui complique l’apprentissage et la gestion du comportement en classe.
Quels aménagements scolaires peuvent être mis en place pour un enfant TDAH ?
Des adaptations comme un temps supplémentaire pour les évaluations, un environnement de travail calme, ou l’utilisation d’un ordinateur peuvent être proposées via un PAP ou un PPS.
Comment la dyspraxie affecte-t-elle les apprentissages scolaires ?
La dyspraxie rend les gestes plus difficiles (écriture, découpage, manipulation), ce qui peut ralentir l’enfant et affecter sa confiance en lui.
Les enseignants sont-ils formés pour accompagner les enfants TDAH et dyspraxiques ?
Pas toujours. Beaucoup d’enseignants manquent de formation spécifique, ce qui rend leur accompagnement difficile malgré leur bonne volonté. Cela dépend donc de l’implication extra-professionnelle de l’instituteur.
Que faire si l’école ne reconnaît pas les besoins spécifiques de l’enfant ?
Il est possible de solliciter un rendez-vous avec l’équipe éducative, de faire appel à la MDPH, ou de contacter des associations spécialisées pour obtenir un soutien.
Comment favoriser l’inclusion d’un enfant TDAH ou dyspraxique en classe ?
En valorisant ses efforts, en adaptant les consignes, en favorisant la coopération avec les autres élèves, et en utilisant des outils pédagogiques différenciés.
Voilà mes chers parents et petits trésors ! J’espère que ce guide vous aidera à traverser cette tempête. Souvenez-vous : vous n’êtes pas seuls, des solutions existent, et surtout, votre enfant a en lui toutes les ressources pour s’en sortir !
Avec tout mon soutien magique, Piwooz, votre mini-coach des émotions préféré ! 🌟💕
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